REUNIONS 2010
Troubles du rythme . 15 décembre 2010 DDS.
Expert : Dr Eric Dubart, cardiologue urgentiste, service des urgences de Béthune
Groupe de travail : Le CH référent , chargé de l'organisation, Lons le Saunier;
Le groupe coordinateur est composé d'infirmiers, et de Médecins: Anne-Françoise Baron (Besançon), Caroline Peugeot (Besançon), , Stephanie Darcot (Lons), groupe animé par Yves Duffait (Lons)
Tri aux urgences. Premier décembre 2010.
Expert : Dr Taboulet, hôpital Saint Louis, Paris
Groupe de travail : Le CH référent , chargé de l'organisation, Besançon;
groupe animé par Estelle de Villepoix.
Site Triage-Urgence (hôpital Saint Louis)
La CIMU
présentation, apprentissage, évaluation en ligne sur le site Triage-Urgence de l'hôpital Saint Louis.
Accidents hémorragiques sous AVK aux urgences. 18 novembre 2010 DDS.
Experts : Dr Eric Dubart, cardiologue urgentiste, service des urgences de Béthune
Dr Thibaut Desmettre, service des urgences/SAMU25
Risque Chimique "du risque militaire au risque civil" -mercredi 19 mai 2010: soirée d'exception à la citadelle.
en partenariat avec
-
Association Régionale de l' Institut des Hautes Etudes de la défense nationale de Franche Comté (AR -IHEDN Franche Comté)
-
Association des personnels de Santé Sapeurs-pompiers du Doubs
-
Club des Urgentistes Bisontins
Invité d'honneur : Dr Lucien Bodson - CHU Liège (Belgique)
Citadelle de Besançon - le 19 mai 2010 - (Chapelle de la Citadelle)
Réunion organisée avec le soutien des laboratoires Prevor , Merck Serono, Utilis, Masimo, Coreadis, Silvert Medical
Groupe coordonnateur : Laurette PILLER; Philippe PAULIN; Jean-Marc LABOUREY; Jean-Pascal GIOCANTI; Gabriel HAMADI , Christophe LAMBERT ; Jean Luc FORTIN.
Organisation : Jean Luc FORTIN. (fortin.jeanluc@wanadoo.fr)
enquête de pratique
(Dr Labourey J.M. - Responsable du Centre de Régulation Médicale - Samu 25)
Les organophosphorés: Du risque militaire au risque civil
(Dr Lambert C. - Responsable NRBC - CHU J Minjoz - Samu 25/ Sdis 25)
Organophosphorés, présentation.
Les agents cyanés : ( Dr Fortin J.L.- Praticien Hospitalier Samu 25 / Médecin Lt-Colonel Sdis 25)
L'ypérite représente t'elle encore un risque aujourd'hui ? ( Dr Giocanti J.P.- Responsable des plans de secours - Samu 25)
Les brûlures chimiques et l'emploi de la diphotérine (Dr Bodson L.- CHU Liège - Belgique)
Brulûres chimiques et difotérine.
Retour d'expérience de l'accident de l'A 36 ( Dr Paulin P. - Adjoint au Médecin-Chef du Sdis 25 / Cne Friedig S. - Risques Chimiques - Sdis 25)
retour d'expérience, accident autoroute A36
Bibliographie
1. O. Lepick Les Armes chimiques Presse Universitaire de France - Collection Que sais je ? Edition Août 1999
2. C. Renard, J.L. Fortin, F. Baud Terrorisme chimique et cyanures Menace terroriste - Approche médicale. Editions John Libbey Eurotext 2005
3. C. Renaudeau Les aggressifs chimiques de guerre Menace terroriste - Approche médicale. Editions John Libbey Eurotext 2005
4. G. Lallement, M. Ruttimann, F. Dorandeu Les neurotoxiques organophosphorés Menace terroriste - Approche médicale. Editions John Libbey Eurotext 2005
5. A. Terril Chemical weapons in the Gulf War Strategic Review 1986 - p13
6. A. Lacoste et col. Identification des agents chimiques à la suite d'un attentat Urgence pratique 2004, n°66, p39-41
7. DT. Lawrence and all Chemical Terrorism attacks; Update on antidotes Emergency clinics of North America 25 (2007), 567-595
8. Y. Tokuda, M. Kikuchi, O. Tokahashi, G.H. Stein Prehospital management of sarin nerve gas terrorism in urban setting : 10 years of progres after Tokyo subway sarin attacks Resuscitation (2006) , 68, 193 - 202
9. J.L. Fortin, F. dorandeu, E. Gentilhomme, C. Reanrd, G. Lallement, H. lebever, H. Carsin Les agents chimiques vésicants: Point de situation - Prise en charge médicale des victimes Urgence pratique 2003, n°58, p35-p38
10. J.L Fortin, F. Dorandeu, E. Gentilhomme, C. Renard, H. Lebever, H. carsin, G. Lallement Les toxiques chimiques vésicants - Prise en charge médicale des victimes Urgence pratique, 2003, n°58, p35 - p38
"environnement industriel en Franche-Comté, 2003"
"circulaire relative à la doctrine nationale d'emploi des moyens de secours et de soins face à une action terroriste mettant en oeuvre des matières chimiques" (dite "circulaire 700") et ses "annexes"
Prise en charge pré-hospitalière des noyades et accidents de plongée, 23 mars 2010, DDS.
Experts : Dr Mathieu Coulange, HOPITAL SALVATOR, SECTEUR D' HYPERBARIE, Marseille.
Pr Gilles Capellier, Besançon, DU médecine hyperbare.
Coordination : Dr Jean-Luc Fortin
Groupe de travail : Dr Caroline Peugeot-Mortier; Gaëlle Marillier ; Dr Antoine Elisseeff ; Dr Philippe Paulin ; Dr Henri-Paul Vinit.
Présentation de l'enquête de pratique
Pr Gilles Capellier : mise au point épidémiologique, physiopathologique, et thérapeutique des accidents par noyades. Points marquants :
" Présentation de cas de survie sans séquelles de noyés en eau froide réanimées tardivement. La planche à masser est indiquée pour le transfert de ces patients.
" la VNI peut-être initialement envisagée chez l'hypoxique.
" Vidange gastrique, remplissages et réchauffement maîtrisé sont nécessaires précocement. Le volume d'eau intra-pulmonaire qui provoque la noyade est relativement faible. les corps étrangers contenus dans l'eau de noyade sont responsables d'atélectasie.
" Perspectives d'avenir : arbre décisionnel permettant de ne pas garder au-delà de quelques heures certains patients victimes d'aquastress.
Dr Mathieu Coulange, HOPITAL SALVATOR, SECTEUR D' HYPERBARIE, Marseille. Les progrès dans les accidents de plongées sont dus à la précocité des mesures simples sur le terrain : hydratation, réchauffage, aspirine, oxygénothérapie, RCP de base et spécialisée. Les accidents classiques comprennent : accidents de décompression, de surpression, noyade mais aussi l' accident hyperoxique, la narcose, l'œdème pulmonaire d'immersion… Certaines plongées "spéciales", à l'hélium, à mélanges enrichis , ou en spéléologie peuvent surprendre l'urgentiste. 6 messages essentiels :
1. Une plongée dans les règles ne met pas à l 'abri d'un accident.
2. Symptomatologie variée, d'évolution imprévisible, souvent faussement rassurante.
3. Absence de corrélation entre la manifestation clinique et la gravité potentielle.
4. Eliminer un pneumothorax avant toute recompression.
5. En cas de thérapeutique hyperbare, le délai de recompression doit être < 3 heures voire 90 min.
6. Rechercher une décompensation d'une pathologie sous jacente.